vendredi 29 mai 2009

Décalco, pizza et autres copineries

Se réveiller un matin avec un léger mal de crâne et un décalco Malabar tatoué sur l’avant-bras. Essayer de se souvenir, y arriver et puis sourire.

Aller à la piscine ensemble, la marque des bas incrustée dans la chair jusque mi-mollet. Se dire que le ridicule ne tue pas. Mais quand même...

Prendre un verre à trois, multiplier par deux, ou quatre. Calculer, utiliser ses doigts, emprunter ceux du voisin. C’est l’happy hour, ça compte pour du beurre.

Se laisser des post-its sur le miroir des toilettes, mener l’enquête, retrouver qui a écrit quoi et se tromper sans cesse.

Hélitroyer une pizza oubliée, se marrer comme des baleines en négociant le virage. Viser à côté et recommencer.

Fumer un joint, puis se rappeler qu’on ne fume plus. L’écraser en se demandant au juste pourquoi on a arrêté. S’en souvenir et partir dans un fou rire.

Mes amies, nos conneries, la vie.

5 commentaires:

  1. j'aime ton billet, tu as beaucoup de talent...mais ça , je le savais déjà du temps où les endives poussaient sur les blogs...Mais, je suis déçue que tu n'aies pas pu venir au Salon du Théâtre et que tu me fasses faux bond le 6, Place des Abbesses. Quand verrais-je en face de moi une nana me dire : je m'appelle Christelle, c'est moi, en chair et en os ? Bisous

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  2. Ca me donne envie de remettre des mi-bas tiens :-)

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  3. J'aime beaucoup tes clichés balancés à la volée. C'est simple mais profond et si jovial!Qui de nous 2 speed l'autre..Qui,oui, n'a jamais vécu cela où le vit. Ben oui on n'a pas tous les jours 20 ans!

    au fait...trou de gruyère : t'as fait fort et vlan dans ma tête :D

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  4. Aussi simple que ça, et ça colle le sourire !

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