dimanche 27 septembre 2009

La théorie du parapluie

Chacun d’entre nous fait la pluie et le beau temps.
C’est ce que j’appelle la théorie du parapluie.
Il suffit qu’on en prenne un pour qu’il ne pleuve pas. Il suffit qu’on l’oublie pour qu’il se mette à pleuvoir.
La météo, c’est question d’optimisme, en somme.
Mais pas seulement, parce qu’avec les parapluies on n’est jamais à l’abri d’un pépin : baleine cassée, toilé retroussée, on a beau en avoir un sous la main, on n’est jamais sûr de rien.
A quoi ça sert donc ?
A rien.
Sauf que... Il y a une chose dont on est certain, s’il fait beau et qu’on a un parapluie, on ne sera pas mouillé. Et puisqu’un tiens vaut mieux que deux tu l’auras pas, il est préférable d’avoir deux parapluies quand il ne pleut pas, que pas de parapluie quand il pleut.
Mais si l’on a deux parapluies et qu’il ne pleut pas, on peut légitimement supposer que :
- plus il y a de parapluies, moins il pleut
- moins il y a de parapluies, plus il y a de soleil.
Et donc : moins il pleut, plus il y a de soleil.
CQFD.

5 commentaires:

  1. Une théorie qui prête à sourire, un raisonnement façon Groucho Marx, ça et le soleil pour un résultat plaisamment sympathique.
    Je ne sais pas pourquoi, mais ta petite fable m'a fait penser à une autre (avec laquelle elle ne partage pas grand chose, sinon la moralité): http://www.youtube.com/watch?v=PbI-k2c7Rvg
    Néanmoins, je vais devoir finir par te faire des remontrances, toi qui postes sur FB sans passer par VE! (non mais..)
    :-)

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  2. La théorie du pébroc est excellente: il faut souvent être plus optimiste que la météo et se dire qu'après la pluie, vient le beau temps: j'ai regardé le ciel, c'est souvent vrai !!! ;-))

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  3. Et puis il y a le rayon de soleil qu'on n'attendait pas...

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  4. J'en ai une dans le même genre, pour les fuutur-pères:
    Quand l'hopital appelle pour dire "elle a des contractions", tu refais rapidement le sac de naissance avec du taille préma. Et quand l'hopital prévient ensuite "ça attendra", tu rentres chez toi et tu déballe le sac. Alors, il est certain que l'hopital appelle à nouveau, loin sur la route du retour éventuellement, pour dire que l'accouchement commence.
    La solution: rester posté en bas des Urgences, tout en faisant croire qu'on est parti. ça déclanche les contractions, et le tour est joué.
    Deux petits jumeaux, nés le 27/09, après, ho, un certain nombre de faux départs...
    Pascal

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